samedi 1 décembre 2012

50 ans de James Bond

Comment ? Que vois-je ? Un nouveau message sur ce blog ? Et bien oui, comme quoi, on parlera ici sans doute d'un miracle de Noël. Bon, en fait, je m'ennuyais devant mon écran, en panne d'inspiration face à un chapitre un peu compliqué. Du coup, je cherchais un dérivatif pour libérer l'esprit de ce noeud. Et voilà que je me souviens de ce blog. N'ayant jamais été un grand communiquant, en manque d'idées intéressantes pour l'alimenter et pressé par d'autres priorités, je l'avais un peu laissé tomber dans les limbes. Maintenant que plus personne ne le lis, je peux à nouveau venir y poster quelques élucubrations sans conséquences ou, au contraire, totalement idiotes, puisque ça restera entre moi et moi ! Donc, 50 ans de James Bond disais-je en ouverture de cette résurrection. Je fais bien entendu référence ici à la sortie du film "Skyfall". Grand fan des aventures de l'espion britannique depuis des années, je suis ressorti avec un large sourire de la salle de cinéma. Bien entendu, comme certains grincheux, je peux aussi regretter que "Skyfall" ne fasse pas suite immédiatement aux deux premiers opus avec Daniel Craig, et que l'on doive attendre un nouveau film avant de retrouver Mr White et la mystérieuse organisation à laquelle il appartient. Mais non, je n'en ferai rien. D'abord parce que "Skyfall" est un excellent James Bond, rempli à souhait de tout ce qui fait ce genre de film. Ensuite parce que je le vois vraiment comme un (une? flemme de chercher) aparté dans la série, une célébration du personnage de Ian Flemming, un épisode qui se suffit en lui-même tout en posant des bases pour la suite (J'aimais beaucoup Judy Dench en M, et je suis très heureux de voir Ralph Fiennes reprendre ce rôle). En multipliant les références aux films précédents (l'aston martin de "Goldfinger" entre autre), "Skyfall" est un message d'amour au personnage de James Bond et à sa longue série d'aventures. J'adore ! Et la photo alors, me direz-vous ? Et bien, comme personne ici ne l'ignore, je suis un rôliste passionné et, au regard de la flamme que je viens de déclarer au plus célèbre espion du monde, vous vous doutez bien que je pratique le jeu de rôle tiré de ces aventures (James Bond 007 - le jeu de rôle par Victory Games / Jeux Descartes). Ou plutôt pratiquais, assidûment, il y a quelques années maintenant. Hors, à la sortie de "Skyfall", Stéphanie (la blonde) a proposé fort opportunément de se lancer dans une partie afin de célébrer cet événement. Retours enthousiastes des divers joueurs historiques et la soirée s'est rapidement mise en place. Mais attention : soirée de gala. Costumes et robes de soirée de mises, noeuds papillons et champagne. Bref, un moment entre amis pour s'amuser et se faire plaisir, mais n'est-ce pas là-même l'essence du JDR ? Et le scénario ? Bof, rien d'original : des poursuites dans les landes écossaises et dans la lagune de Venise, des hôtels de luxe, des femmes fatales et des méchants sadiques, un attentat contre le siège du MI6, une énigme pour déjouer un complot mondial... La routine, quoi.

2 commentaires: